Il n’y a pas si longtemps, je me sentais submergé par les nouvelles technologies.
Les réunions sur l’IA, les outils qui évoluent chaque semaine, les équipes qui attendent des réponses.
J’avais l’impression de courir après un train en marche.
Pourtant, je me suis mis à piloter ces changements.
Sans formation technique.
Sans devenir expert(e) en code.
Simplement en m’appuyant sur ce qui me définit depuis toujours.
Tout a basculé lors d’un feedback d’un ami :
« Tu sais déceler les forces des membres de ton équipe. Pourquoi ne pas l’appliquer à toi ? »
Je me suis souvenu de cette vérité oubliée :
Les algorithmes ne remplaceront jamais l’intuition.
Les logiciels ne reproduiront pas l’empathie.
Les données ne captureront pas la passion.
J’ai arrêté de vouloir rivaliser avec les machines.
Je me suis concentré sur mon don : transformer l’essentiel en actions concrètes.
Traduire le jargon technique en impacts humains.
Relier les innovations aux besoins réels de mon équipe.
La technologie ?
Un outil.
Rien de plus.
Ce qui fait la différence, c’est ta capacité à embarquer les autres.
À anticiper les peurs.
À célébrer les petites victoires.
Maintenant, quand un nouveau logiciel débarque :
Je l’explore avec curiosité.
Je cerne comment il sert notre mission commune.
Je forme non pas sur les fonctionnalités, mais sur le « pourquoi » qui donne du sens.
La leçon est là :
Tes talents innés sont ton bouclier contre l’obsolescence.
Ton empathie devient un levier face à la complexité.
Ta passion est le moteur qui rend les équipes résilientes.
N’apprends pas à coder si ton cœur bat pour les connexions humaines.
Ne deviens pas data scientist si ton génie est de simplifier l’inaccessible.
Les révolutions technologiques ne s’affrontent pas – elles se transcendent.
En étant radicalement toi-même.