✨ Parfois, tu te réveilles avec l’impression que quelqu’un d’autre a programmé ta journée ?
Moi aussi. Et un matin, j’ai décidé de virer ce quelqu’un.


C’était un mardi. Le genre de mardi gris où même le café a un goût de « faut y aller quand même ».
J’avais enchaîné les réunions, les e-mails, les to-do lists héritées de l’agenda de quelqu’un d’autre. Et là, au feu rouge, entre deux notifications, une pensée a claqué :
« Mais au fait… c’est qui qui pilote, là ? »


Alors j’ai appuyé sur pause. Vraiment. J’ai pris un carnet, un bon vieux stylo, et j’ai écrit en haut de la page :
« Qu’est-ce que j’ai « choisi » dans ma vie actuelle ? »


Autant te dire que la page est restée assez blanche.

Et puis, en grattant un peu, j’ai vu émerger des trucs que j’avais laissés filer. Des envies mises sous le tapis. Des décisions prises pour faire plaisir. Des « c’est plus simple comme ça ».

C’est là que j’ai compris : je n’étais pas l’architecte. Juste l’ouvrier exécutant d’un plan que je n’avais même pas validé.


Alors j’ai changé de rôle. Pas en démissionnant tout de suite ou en partant vivre dans une yourte (même si j’y ai pensé). Non, juste en reprenant les rênes, petit à petit.

Un non par-ci. Un vrai oui par-là. Un espace le matin pour écrire, rien que pour moi. Une discussion honnête avec mon chef. Un projet perso que j’avais mis de côté depuis trop longtemps.

Et tu sais quoi ? Le monde ne s’est pas écroulé. Il a même un peu mieux tourné. Parce que je me suis remis au centre.



Être artisan·e de ta vie, c’est pas refaire toute ta maison en une nuit. C’est déjà te rappeler que c’est TOI, le ou l’architecte et aussi le.a chef·fe de chantier.


Et que c’est ton chantier à toi. Avec ta vision. Tes outils. Ton rythme.


🔨 Et toi, quel premier coup de marteau t’as permis de reprendre la main ? Raconte, même si c’était juste une pause déj’ sans téléphone.


👉 Demain, on parle de ce qui change tout : accepter que la vie ne soit pas linéaire… et que c’est une bonne nouvelle.

Retour en haut