Qu’est-ce qui vous rend heureux ?
Dans ce chapitre vous apprendrez ce qu’est le bonheur véritable, ce qu’il faut entreprendre pour l’atteindre, et en quoi la découverte de votre Élément est essentielle pour y parvenir.
Pour la plupart, la majorité du temps, le bonheur est une aspiration essentielle. Alors comment l’Élément peut-il vous rendre heureux(se), et que pouvez-vous faire pour y parvenir ?
Exercice 9 : à quel point êtes-vous heureux(se) ?
Avant que nous nous penchions sur la nature du bonheur, demandez-vous comment vous définissez cette notion pour vous-même, et à quel point vous êtes heureux(se) aujourd’hui. Pour cela, dessinez une mind map du bonheur :
- Écrivez le mot « Bonheur » au centre d’une grande feuille de papier, et encerclez-le.
- Réfléchissez aux choses que vous associez au bonheur, et notez-les.
- Pour chacune d’elles, tracez en couleur une branche partant du cercle initial et inscrivez le mot concerné au-dessus. Par exemple, si vous associez le bonheur avec le fait d’avoir beaucoup d’argent, tracez une branche intitulée « Richesse ».
- À partir de chaque branche, tracez des ramifications secondaires pour indiquer ce que vous associez à chacune des idées principales. Par exemple, si vous associez le bonheur aux « Relations personnelles », ajoutez des branches secondaires intitulées « Amis », « Famille », etc.
- Après avoir ajouté toutes les idées qui vous viennent à l’esprit, observez l’ensemble de la carte et demandez-vous comment vous vous situez en ce moment par rapport à chacun de ces thèmes. Vous pouvez indiquer « très bon », « moyen » et « mauvais », ou choisir une autre échelle d’évaluation. Ou, si vous préférez, vous pouvez recourir à des couleurs.
- Enfin, demandez-vous quelles auraient été ces évaluations cinq, dix et vingt ans plus tôt – en fonction de votre âge actuel, bien sûr.
Êtes-vous plus heureux(se) dans certains domaines de votre vie que dans d’autres ? Êtes-vous plus, ou moins heureux(se) qu’à d’autres époques de votre vie ? Quand vous procédez à ces évaluations, comment définissez-vous le bonheur ? Selon vous, que faut-il faire pour être plus heureux ?
La triste vérité
Si la plupart des individus disent rechercher le bonheur, on observe de plus en plus que la majorité ne le trouve pas. L’un des paradoxes de notre époque veut que dans l’ensemble la population paraisse moins heureuse qu’il y a vingt ou trente ans, malgré l’augmentation des richesses au cours de la même période.
À une extrémité, un très grand nombre d’individus ne s’impliquent absolument pas dans leur travail ou leurs études, à leurs yeux dénués de sens et peu satisfaisants. À l’autre extrémité, un nombre stupéfiant de personnes s’adonnent à l’alcool, au tabac ou à d’autres drogues pour stimuler ou réprimer leurs sensations.
Pour expliquer la dépression et le désengagement, il y a autant de raisons que d’individus qui en souffrent. Néanmoins, il existe des causes générales telles que les biens matériels et le niveau de vie, sans cesse mis en avant par les médias. L’insécurité financière déclenchée par la récession de 2008 a également ébranlé la confiance des populations à travers le monde. Enfin, il faut mentionner les profonds changements dans la vie familiale et locale, ainsi que l’importance croissante accordée à la réussite individuelle. Tous ces facteurs peuvent accroître le sentiment d’insécurité et de danger au niveau personnel. L’ironie veut que les médias dits sociaux engendrent aussi leurs propres pressions. Bien que les jeunes soient plus connectés que jamais, beaucoup d’entre eux ont le sentiment d’avoir moins de vrais amis sur qui compter pour une compagnie réelle ou un réconfort en cas de besoin.
Par-dessus tout, l’une des raisons fondamentales pour lesquelles tant d’individus se sentent malheureux, c’est que le bonheur est une notion très mal connue.
Cherchez-vous au mauvais endroit ?
Sur le bonheur, on se fait beaucoup d’idées fausses, qui transparaissent dans le recours fréquent à l’expression « si seulement ». « Si seulement je gagnais au loto ; si j’avais une grande maison ; si j’étais en couple ; si je divorçais ; si j’avais des enfants ; si je n’avais pas d’enfants ; si j’avais un physique plus avantageux ; de grandes jambes ; un visage différent ; un autre boulot. »
Mais, bien souvent, l’image que nous avons de ce qui nous rendrait heureux est une simple illusion, et non une vision.
Vous pouvez vous sentir heureux(se) durant quelques heures, mais un bonheur prolongé repose sur un épanouissement plus profond. Mais quel est-il, et comment l’Élément peut-il contribuer au bonheur à long terme ?
Qu’est-ce que le bonheur ?
Le bonheur est un état non pas matériel, mais spirituel – un état intérieur de bien-être.
Le véritable bonheur n’a rien à voir avec les sensations éphémères que suscite une aubaine inattendue.
Le bien-être émotionnel est tout aussi important que le bien-être physique. Nous devons créer les conditions de notre bonheur avec les moyens qui sont en notre pouvoir. « Le bonheur naît spontanément de sources qui sont en nous. Il est tout à fait contre-productif de le chercher à l’extérieur de nous-mêmes. »
Pour être heureux(se), il faut privilégier vos émotions positives. Cela bénéficiera à l’ensemble de votre être, tant physique que spirituel.
En dernière analyse, l’être humain a seulement deux sentiments primitifs : la peur et l’amour. La peur nous force à survivre, et l’amour nous permet de prospérer. Les sentiments positifs accroissent notre taux de dopamine et font du bien à notre corps, en particulier au système cardiovasculaire. Tandis que le stress et l’anxiété ont l’effet inverse.
Dans la quête de votre Élément, il est très important que vous prêtiez une grande attention à vos états émotionnels. Y a-t-il une activité dont la pratique vous met invariablement de meilleure humeur ? Quand éprouvez-vous des périodes de véritable joie ?
Le sens du bonheur
Le mythe veut qu’un homme heureux soit joyeux en permanence. Dans son ouvrage S’épanouir – Pour un nouvel art du bonheur et du bien-être, Martin Seligman, considéré comme le père de la psychologie positive, plaide pour un bonheur durable et expose les principes et pratiques qui permettent d’y parvenir. Il distingue trois composantes du bonheur : les émotions positives, l’engagement, et le sens. Les émotions positives sont ce que nous ressentons. L’engagement, ou l’état de flux, est « la capacité à faire un avec la musique, à arrêter la course du temps et à s’oublier dans une activité absorbante ». La troisième composante du bonheur est le sens : « La recherche de l’engagement ou du plaisir est souvent une entreprise solitaire qui tient du solipsisme. C’est pourquoi les êtres humains éprouvent le désir irrésistible de trouver un sens et un but à leur vie. » Autrement dit, cela consiste à « servir quelque chose qui dépasse la personne ». Avoir le sentiment de faire une chose qui ait un sens ne garantit pas le bonheur. Néanmoins, il est plutôt difficile d’accéder au bonheur si l’on n’a pas le sentiment de faire quelque chose qui ait un sens, quel qu’il soit.
Quelle que soit votre situation, à bien des égards la quête de votre Élément consiste avant tout à trouver un sens et un but à votre vie. N’est-il pas beaucoup plus facile de faire une chose qui a un véritable sens pour vous, et le temps ne passe-t-il pas plus vite ? Si vous avez le sentiment que ce que vous faites compte pour vous-même ou votre entourage, vous aurez bien plus de chances d’y prendre plaisir.
Bonheur et bien-être
il est possible qu’un aspect de votre vie soit heureux et pas d’autres. Voilà pourquoi il est important de réfléchir au bonheur dans le cadre de votre vie dans son ensemble.
Dans son ouvrage S’épanouir, Martin Seligman reconnaît les limites de ses précédentes réflexions faites dans La Fabrique du bonheur. Selon lui, il est trop restrictif de se concentrer uniquement sur le bonheur, qu’il faut appréhender dans le cadre du concept plus large du bien-être. Ce dernier possède cinq composantes mesurables. Aux trois composantes du bonheur – émotions positives, engagement et sens –, Seligman ajoute les relations et la réussite. Pour lui, c’est le bien-être, et non le bonheur, qui constitue le véritable objet de la psychologie positive.
Les chercheurs de l’institut de sondage Gallup explorent les critères d’une belle vie. Plus récemment, en partenariat avec de grands économistes, psychologues et autres scientifiques, ils ont commencé à étudier les éléments communs du bien-être qui transcendent les cultures, dans plus de 150 pays, de l’Afghanistan au Zimbabwe.
En posant des centaines de questions sur la santé, la richesse, les relations personnelles, le travail et l’environnement, ils ont évalué le rapport au bien-être de près de 90 % de la population mondiale. Il en ressort que le bien-être embrasse cinq domaines de la vie. Ceux-ci n’incluent pas « toutes les nuances de ce qui est important dans la vie, mais ils représentent les cinq grandes catégories essentielles à la plupart des individus ».
- Bien-être professionnel : aimer ce que l’on fait tous les jours.
- Bien-être social : avoir des relations fortes et connaître l’amour dans sa vie.
- Bien-être financier : gérer efficacement sa vie économique.
- Bien-être physique : disposer de la santé et de l’énergie nécessaires pour vaquer à ses occupations quotidiennes.
- Bien-être environnemental : sentir une implication avec le lieu où l’on vit.
En conclusion de cette étude, Gallup estime que si 66 % de la population se sent bien dans l’un de ces domaines au moins, seulement 7 % s’épanouit dans les cinq domaines.
Si l’un de ces domaines pèche, comme c’est le cas pour la plupart d’entre nous, notre bien-être et notre vie quotidienne en sont affectés. En renforçant notre bien-être dans n’importe lequel de ces domaines, nous bénéficierons de jours, de mois et de décennies meilleurs. Cependant, nous ne pourrons tirer le meilleur parti de notre existence qu’en vivant pleinement dans les cinq domaines. » Pour atteindre un bonheur et un bien-être intenses et authentiques, il faut parvenir à un équilibre et à un épanouissement dans tous les domaines à la fois.
L’étude Gallup met en évidence ce point : pour notre bien-être général, nous devons nous trouver dans notre Élément au niveau professionnel. La plus simple que nous puissions nous poser est la suivante : « Est-ce que j’aime ce à quoi j’occupe toutes mes journées ? » À la base, nous avons tous besoin de faire quelque chose, et de préférence une chose à laquelle nous nous réjouissons de nous atteler quand nous nous réveillons chaque matin. Cependant, seuls 20 % des participants à l’étude Gallup répondent par l’affirmative à cette question.
Ce à quoi vous passez votre temps chaque jour forme votre identité, que vous soyez étudiant, parent, bénévole, retraité ou que vous ayez un emploi plus traditionnel. Vous consacrez la plupart de vos journées à une activité que vous considérez comme une carrière, un métier, une vocation ou un emploi. Lorsqu’une nouvelle connaissance vous demande ce que vous faites dans la vie, si vous répondez par une activité qui a un sens et vous donne satisfaction, vous vous épanouissez sans doute dans votre occupation quotidienne.
Faute de pratiquer régulièrement une activité qui vous plaît, même si c’est à titre bénévole, il y a fort à parier que votre bien-être diminuera rapidement dans les autres domaines. Les personnes qui bénéficient d’un grand bien-être professionnel ont deux fois plus de chances de se sentir heureuses dans leur vie en général.
Et vous, comment vous évaluez-vous dans ces cinq domaines du bien-être ? Dans l’exercice 7, vous avez identifié les activités qui vous plaisent le plus. En gardant celles-ci à l’esprit, mesurez maintenant votre bien-être dans les cinq domaines que je viens de présenter.
Exercice 10 : les cercles du bien-être
- Examinez chacun des cinq domaines du bien-être. En ajouteriez-vous d’autres ?
- Prenez une feuille de papier et tracez un petit cercle au centre duquel vous écrivez votre nom. Autour, tracez cinq cercles (ou davantage) bien répartis pour représenter chacun des domaines du bien-être.
- Dans chacun de ces domaines, évaluez votre vie.
- Quels mots ou images utiliseriez-vous pour exprimer vos sentiments actuels relatifs à chacun de ces domaines du bien-être ? Inscrivez-les dans le cercle correspondant.
- Pour chacun des cercles, rédigez quelques paragraphes en écriture automatique. Quelles problématiques ou questions font-ils apparaître ?
Soyez plus heureux(se)
Depuis le début de ce livre, nous avons parlé de votre vie en termes de patrimoine biologique, de situation personnelle et de manière d’agir. Dans son ouvrage Comment être heureux et le rester, Sonja Lyubomirsky affirme aussi que notre bonheur dépend de trois facteurs essentiels : les circonstances extérieures, notre capital génétique et notre comportement. Mais l’un d’eux influe davantage que les autres.
Circonstances extérieures
Parmi tous les facteurs qui influent sur notre bonheur, notre situation personnelle – santé, richesse, condition sociale, etc. – contribue seulement à hauteur d’environ 10 %. De nombreuses études arrivent à cette conclusion. Ainsi, « les Américains les plus riches, ceux qui gagnent plus de 10 millions de dollars chaque année, font état d’un niveau de bonheur un peu plus élevé que les employés ou les ouvriers à leur service ». Bien souvent, le degré de bonheur des individus qui vivent dans la misère ou dans un environnement difficile diffère peu de ceux qui vivent dans l’opulence. Comme nous l’avons déjà évoqué, le bonheur et le bien-être dépendent de bien d’autres facteurs que la situation matérielle. L’un d’eux est notre patrimoine biologique.
Patrimoine biologique
Notre propension individuelle au bonheur est en partie héritée. Elle dépend de notre constitution biologique. Des études réalisées sur des jumeaux, vrais et faux, laissent entendre que nous naissons tous avec un capital initial hérité de notre mère, de notre père ou des deux. Vous l’avez déjà constaté dans votre propre vie ainsi que parmi vos connaissances. Certaines personnes sont d’un naturel optimiste et gai, tandis que d’autres ont toujours un air de chien battu. Souvent, leur attitude a peu de rapport avec les événements auxquels elles sont confrontées.
Dans quelle mesure vos gènes influent-ils sur votre bonheur et votre bien-être personnels ? Des études estiment qu’à tout moment ils pourraient conditionner jusqu’à 50 % de notre bonheur. Dans ce cas, si vos prédispositions biologiques ont une telle importance, contre laquelle vous ne pouvez rien, et que vos conditions matérielles jouent un moindre rôle, que pouvez-vous faire pour être plus heureux(se) ? La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez faire beaucoup. Quelles que soient vos prédispositions et votre situation, vous avez plus d’emprise que vous ne l’imaginez sur votre bonheur et votre bien-être.
Comportement
Des études suggèrent que notre bonheur est affecté à 40 % par ce que nous choisissons de faire et par la manière dont nous choisissons de penser et de ressentir : autrement dit, par notre propre comportement. La clé du bonheur ne consiste pas à changer notre constitution génétique, ce qui est impossible, ou notre situation matérielle, ce qui n’est pas toujours facile, mais elle réside dans nos « activités au jour le jour ». Or, le fait de se trouver dans son Élément joue un rôle crucial dans ce processus.
Opération bonheur
Il y a de cela quelques années, l’auteure Gretchen Rubin a entrepris de se rendre plus heureuse, alors qu’elle reconnaissait être déjà relativement heureuse. Elle a relaté son projet dans son livre Opération bonheur. Le sous-titre en dit long : Une année pour apprendre à chanter, ranger ses placards, se battre s’il le faut, lire Aristote et être heureux. Afin d’accroître son niveau de bonheur, elle a décidé de le renforcer dans différents domaines de sa vie comme le mariage, le travail, les loisirs et l’argent. Cela pendant un an, à raison d’un domaine par mois.
Au début de son ouvrage, elle explique la raison de sa démarche : « Les dernières études montrent que les gens heureux sont plus altruistes, plus efficaces, plus secourables, plus attachants, plus créatifs, plus résistants, plus amicaux et en meilleure santé que les autres. »
Combinés ensemble, le sens et le bonheur propulsent la vie que vous menez vers quelque chose qui s’apparente davantage à un jeu qu’à un travail.
Regardez plus loin que votre nombril
Le bonheur est un état intérieur, mais vous le renforcez si vous regardez par-delà vous-même et que vous vous préoccupez des besoins des autres.
Votre Élément accroîtra votre bonheur et votre sentiment de bien-être, mais il ne vous garantira pas d’être heureux(se) à tout moment. Les personnes qui sont dans leur Élément connaissent elles aussi leurs mauvais jours. Elles doivent tout de même supporter leurs amis casse-pieds et leurs collègues pénibles. Elles ont encore des périodes difficiles où tout semble aller de travers, où elles manquent de sommeil et ploient sous le stress. Néanmoins, je tiens deux choses pour certaines. Tout d’abord, être dans votre Élément accroît de façon prodigieuse vos chances d’être heureux(se) plus souvent. Ensuite, le bonheur intense ressenti quand vous vous adonnez à une activité laisse à penser que cette dernière constitue bien votre Élément.
Pour terminer, encore quelques questions à méditer :
- En quoi se distinguent vos périodes de bien-être et les autres moments de votre vie ?
- Quand vous sentez-vous le(la) plus heureux(se) ?
- Avez-vous le sentiment que l’activité à laquelle vous consacrez la majeure partie de votre temps vise un véritable but, qu’elle est utile pour vous ou pour d’autres ?
- Ce but est-il gratifiant pour vous ? De quelles manières ?
- Comment envisagez-vous la réussite dans votre vie ?
- Quelles sont les causes qui vous inspirent ?
- Quels domaines incluriez-vous dans votre propre « opération bonheur » ?
« Trouver son Élément » de Ken Robinson est un véritable trésor pour ceux qui aspirent à une vie plus authentique et vibrante.
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Ce livre est bien plus qu’une lecture – c’est une opportunité unique de se reconnecter avec son essence et d’épanouir tout son potentiel. Un voyage que chaque lecteur est invité à vivre pour embrasser une vie plus épanouissante et pleine de sens.
Vous trouverez ce livre sur le site Place des Libraires en identifiant une librairie près de chez vous, ou sur le site de la FNAC.
Les extraits que je vous partage sont ceux qui m’ont parlé lors de la lecture du livre.
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