Main tenant plante, pièces empilées autour.

L’Élément – Ken Robinson – L’avenir commence par la découverte de votre Élément

Epilogue

 

Trouver votre Élément est indispensable pour découvrir vos capacités et votre personnalité réelles. En un sens, c’est une question très personnelle. Car il s’agit de vous, des personnes que vous connaissez et de celles que vous aimez. Mais les choses vont plus loin. L’Élément a de profondes répercussions sur la gestion de nos écoles, de nos entreprises, de nos collectivités et de nos institutions. Ses principes essentiels découlent d’une conception holistique du développement humain.

En début d’ouvrage, j’ai indiqué que nous n’appréhendons pas le monde de manière directe. Nous le percevons par le biais d’un ensemble d’idées et de croyances qui filtrent ce que nous voyons et la manière dont nous l’envisageons. Certaines de ces idées sont si profondément ancrées que nous n’en avons même pas conscience. Nous les prenons pour des certitudes pures et simples. Néanmoins, elles se manifestent souvent à travers les métaphores et les images que nous utilisons pour nous étudier et analyser le monde environnant.

Sir Isaac Newton, le grand physicien anglais, élabora ses théories à l’aube de l’ère mécanique. Il voyait l’univers comme une gigantesque horloge régie par des cycles d’une régularité parfaite. Plus tard, Albert Einstein et d’autres scientifiques ont prouvé que c’était loin d’être le cas. L’univers recèle des mystères plus complexes, subtils et dynamiques que votre montre préférée. En bouleversant nos métaphores, la science moderne a transformé notre compréhension du fonctionnement de l’univers.

Toutefois, nous employons aujourd’hui encore des métaphores mécanistes et technologiques pour nous décrire. Combien de fois par jour entendons-nous les gens comparer leur cerveau à un disque dur, dire qu’ils ont perdu les pédales ou pété les plombs, qu’ils manquent de ressort, qu’ils sont déconnectés de la réalité, qu’ils n’impriment pas, ou encore qu’ils ont été programmés pour se comporter de telle ou telle manière ?

Si vous travaillez dans une entreprise, vous avez sans doute déjà consulté un organigramme. Généralement, il consiste en des cases où figurent les noms et les fonctions des différentes personnes, reliées par des traits indiquant leurs relations hiérarchiques. Il ressemble souvent à un schéma de circuit électrique, et renforce ainsi l’idée que l’entreprise s’apparente à un mécanisme dont les pièces ne peuvent s’assembler que d’une façon.

Les métaphores excellent à mettre en évidence les analogies. Certes, il existe des similitudes entre le fonctionnement d’un ordinateur et celui d’un cerveau humain. Toutefois, votre esprit n’est pas un assemblage de circuits électroniques que contient une boîte métallique juchée sur vos épaules. Et les sociétés humaines n’ont rien à voir avec des mécanismes. Elles regroupent des personnes vivantes, mues par des sentiments, des intentions et des relations. L’organigramme vous présente la hiérarchie de l’entreprise, mais il ne reflète pas l’atmosphère qui y règne ni son fonctionnement véritable. En fait, les entreprises et communautés humaines ne s’apparentent pas à des mécanismes, mais ressemblent bien davantage à des organismes vivants.

 

La crise des ressources naturelles

Il y a quelque temps, j’ai visité un muséum d’histoire naturelle. C’est un lieu fascinant. Chaque salle est consacrée à une espèce animale différente. L’une d’elles expose les papillons, magnifiquement présentés dans des vitrines, transpercés d’une épingle, méticuleusement étiquetés, et morts. Les conservateurs les ont regroupés par espèce et par taille, les plus grands en haut, et les plus petits en bas. Une salle voisine classe les scarabées eux aussi par espèce et par taille. Une autre encore accueille les araignées. Répartir ces créatures par catégories dans différentes vitrines constitue une manière de les étudier, certes très instructive. Mais ce n’est pas ainsi qu’elles se présentent dans la nature. Quand vous sortez du musée, vous ne voyez pas tous les papillons voler en formation serrée, les grands devant et les petits derrière. Vous ne voyez pas les araignées filer le long des allées en colonnes impeccables, les plus petites fermant la marche, tandis que les scarabées gardent respectueusement leurs distances. À l’état naturel, ces créatures sont toutes les unes sur les autres. Elles vivent dans des environnements complexes et interdépendants, et leurs sorts sont intimement liés.

C’est exactement la même chose pour les sociétés humaines, qui connaissent aujourd’hui les mêmes types de crises que les écosystèmes de l’environnement naturel. L’analogie est très forte.

Le Printemps silencieux, paru en septembre 1962, décrit les relations au sein des systèmes vivants et notre incapacité à les comprendre. Dans cet ouvrage sans complaisance, Rachel Carson montre les conséquences inattendues et désastreuses des produits chimiques employés par les agriculteurs pour accroître les récoltes et éliminer les insectes. Ces produits toxiques, qui s’infiltrent dans le sol, polluent les réseaux hydrographiques et détruisent la vie marine. En éliminant les insectes sans discrimination, les agriculteurs perturbent en plus les fragiles écosystèmes dont dépendent bien d’autres formes de vie, parmi lesquelles les plantes, que les insectes pollinisent, et les innombrables oiseaux, qui se nourrissent de ces insectes. Une fois les oiseaux disparus, « seul le silence règne sur les champs, les bois et les marécages ».

Rachel Carson fut l’une des premières à sensibiliser les gens à l’écologie du monde naturel. Depuis l’avènement de l’ère industrielle, l’homme semblait considérer la nature comme un entrepôt de ressources inépuisables au service de l’industrie et de la prospérité matérielle. Nous avons creusé la terre pour en extraire le charbon et le fer, foré le sous-sol pour recueillir le pétrole et le gaz, et défriché les forêts pour faire paître nos troupeaux. Tout cela paraissait assez simple. Mais, revers de la médaille, au bout de trois siècles, nous avons quasi saigné à blanc le monde naturel et nous faisons face à une crise majeure en matière de ressources naturelles.

Ce phénomène est si flagrant que, selon certains scientifiques, nous sommes entrés dans une nouvelle période géologique. La dernière glaciation a pris fin il y a 10 000 ans, cédant la place à la période de l’holocène. Certains géologues qualifient la période actuelle d’anthropocène, du grec anthrôpos, « l’homme ». Selon eux, cette nouvelle période résulte de l’impact de l’activité humaine sur la géologie et les systèmes naturels. En effet, celle-ci a notamment entraîné l’acidification des océans, de nouveaux modes de sédimentation, l’érosion des sols et l’extinction de plusieurs milliers d’espèces animales et végétales. Les scientifiques estiment qu’il s’agit d’une véritable crise, et que nous devons agir de manière drastique en l’espace de quelques générations si nous voulons éviter la catastrophe.

Une telle crise vous semblera sans doute amplement suffisante. Or je pense qu’il en existe une autre, tout aussi imminente, qui pourrait avoir des conséquences aussi importantes. Il ne s’agit pas des ressources naturelles, mais des ressources humaines. Je la considère comme l’autre crise des ressources.

 

La crise des ressources humaines

En Occident, la vision du monde qui prédomine ne consiste pas à voir les synergies et les relations, mais à faire des distinctions et à observer les différences. Voilà pourquoi nous épinglons les papillons dans une autre vitrine que les scarabées – et que nous enseignons de façon séparée les matières à l’école.

La pensée occidentale suppose, pour une large part, que l’esprit est séparé du corps, et les êtres humains distincts du reste de la nature. Voilà sans doute pourquoi tant d’individus ne semblent pas comprendre que ce qu’ils ingèrent affecte le fonctionnement de leur corps, leurs pensées et leurs sensations. Et pourquoi la plupart ne semblent pas comprendre que leur qualité de vie est affectée par la qualité de l’environnement, et par la façon dont ils interagissent avec lui.

L’importance des troubles de la nutrition et des maladies infligées à soi-même par une mauvaise alimentation illustre la crise des ressources humaines. Mais voici d’autres exemples. Nous vivons dans une époque où des centaines de millions de personnes ne peuvent tenir jusqu’à la fin de leur journée sans avoir avalé des médicaments contre la dépression et autres troubles psychologiques. Les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques montent en flèche, tandis que le moral de leurs clients continue à plonger. Par ailleurs, la dépendance aux stupéfiants et à l’alcool ne cesse d’augmenter, notamment chez les jeunes. De même que le taux de suicide. Chaque année à travers le monde, le suicide fait plus de morts que les conflits armés. Selon l’Organisation mondiale de la santé, le suicide est aujourd’hui la troisième cause de décès parmi les jeunes de 15 à 30 ans.

Les dysfonctionnements se retrouvent aussi au niveau de la société. Je vis en Californie. En 2006, cet État a consacré 3,5 milliards de dollars à l’enseignement supérieur, et 9,9 milliards à son système carcéral. J’ai du mal à croire que la Californie compte trois fois plus de criminels potentiels que de diplômés potentiels, ou que les masses croissantes de personnes qui croupissent en prison soient nées pour y séjourner. Je ne pense pas qu’autant d’individus naturellement malfaisants se baladent en Californie comme ailleurs. Selon ma propre expérience, la plupart des gens sont bien intentionnés et souhaitent mener une vie qui ait un sens. Cependant, un très grand nombre vit dans des conditions difficiles qui vont de mal en pis, lesquelles peuvent leur ôter tout espoir et tout but.

Au début de la Révolution industrielle, il n’y avait pas foule sur notre planète. En 1750, nous étions 1 milliard de personnes. Il a fallu des centaines de milliers d’années à l’espèce humaine pour atteindre ce chiffre. Lequel peut sembler énorme, d’autant que nous savons combien notre planète est relativement petite. Toutefois, celle-ci était encore assez grande pour que nous vivions dans un confort raisonnable.

En 1930, nous étions 2 milliards. En l’espace de 180 ans, la population avait doublé. Mais il restait encore largement assez de place pour que tout le monde puisse s’allonger. Il nous a fallu quarante ans seulement pour franchir la barre des 3 milliards. Cela se produisit en 1970, peu après l’« été de l’amour » – une pure coïncidence, j’en suis certain. Survint ensuite un accroissement spectaculaire. À la Saint-Sylvestre de l’année 1999, nous partagions la planète avec 6 milliards de congénères. La population avait doublé en l’espace de trente ans. Selon certaines estimations, nous atteindrons les 9 milliards d’habitants vers le milieu du XXIe siècle.

L’expansion des villes entre également en ligne de compte. Sur le milliard d’hommes qui peuplaient la Terre au début de la Révolution industrielle, seuls 3 % étaient des citadins. En 1900, ceux-ci représentaient 12 % d’une population approchant les 2 milliards. En 2000, ils atteignaient près de la moitié des 6 milliards d’habitants. D’ici 2050, plus de 60 % des 9 milliards d’êtres humains qui peupleront notre planète vivront en ville. D’ici 2020, plus de 500 villes à travers le monde auront une population supérieure à 1 million d’habitants, et une vingtaine de mégapoles dépasseront les 20 millions. Aujourd’hui, avec ses 35 millions d’habitants, le Grand Tokyo dépasse déjà la population totale du Canada, au territoire 4 000 fois plus vaste.

Parmi ces gigantesques cités, certaines se trouveront dans les pays dits développés. Elles seront bien conçues avec leurs centres commerciaux, leurs kiosques d’information et leurs taxes foncières. Mais la véritable croissance urbaine ne se situe pas dans cette partie du monde. Elle se joue dans les régions dites en voie de développement (Asie, Amérique du Sud, Moyen-Orient et Afrique). Bon nombre de ces villes tentaculaires seront des bidonvilles dotés d’un piètre système sanitaire, de peu d’infrastructures et encore moins de services sociaux. Cet accroissement massif de la taille et de la densité des populations humaines à travers le monde représente un formidable défi. Il exige que nous nous attaquions d’urgence à la crise des ressources naturelles, mais aussi humaines, et que nous envisagions différemment les relations entre ces deux crises. Tout cela met en évidence le besoin impérieux de nouveaux modes de pensée – ainsi que de nouvelles métaphores sur les sociétés humaines et la manière dont celles-ci s’épanouissent ou se décomposent.

Durant plus de trois siècles, la pensée occidentale a été dominée par les images de l’industrialisation et de la méthode scientifique. Il est temps de changer de points de comparaison. Nous devons dépasser les métaphores mécanistes et linéaires pour adopter des images plus organiques du développement humain.

À l’instar d’une plante, un organisme vivant est complexe et dynamique. Chacun de ses processus internes affecte les autres et vice versa, afin d’assurer la vitalité de l’ensemble. C’est la même chose avec les milieux dans lesquels nous vivons. La plupart des êtres animés ne peuvent s’épanouir que dans certains environnements, et ont souvent entre eux des relations très spécialisées. Les végétaux sains et prospères prennent les nutriments dont ils ont besoin dans leur environnement, qu’ils contribuent à maintenir par leur présence. Certes il y a des exceptions, comme le cyprès de Leyland, autour duquel rien ne semble pouvoir pousser, mais vous avez compris l’idée. Or, cela se vérifie avec tous les êtres vivants et tous les animaux, y compris nous.

Pour assurer sa subsistance, le paysan cultive des légumes et des céréales. Mais ce n’est pas lui qui fait pousser la plante, enfonce les racines, colle les pétales ou colore les fruits. La plante pousse par elle-même, et l’agriculteur lui procure les conditions nécessaires, qu’il connaît, en bon paysan. De même, pour maintenir le développement humain à l’avenir, il est aussi indispensable de comprendre sa dynamique que de connaître les écosystèmes du monde naturel dont nous dépendons.

 

Visons plus haut

À quelques centaines de kilomètres de Los Angeles se trouve la vallée de la Mort, l’un des endroits les plus chauds et secs du monde. Il n’y a pas grand-chose qui pousse dans cette vallée, d’où son nom. En effet, elle reçoit très peu d’eau – environ 5 cm de précipitations annuelles. Toutefois, durant l’hiver 2004-2005, un événement exceptionnel survint. Plus de 18 cm d’eau s’abattirent sur la vallée de la Mort, ce qui n’était pas arrivé depuis des générations. Au printemps suivant, un événement encore plus remarquable se produisit. La vallée se couvrit de fleurs. Les photographes, les botanistes et les simples touristes traversèrent les États-Unis pour contempler ce prodige, qu’ils n’auraient sans doute plus jamais l’occasion d’admirer de leur vivant. La vallée de la Mort débordait de vie. À la fin du printemps, les fleurs disparurent sous le sable chaud du désert en attendant les prochaines pluies, si elles voulaient bien revenir un jour.

Ceci montre bien que la vallée de la Mort n’était pas du tout morte. Endormie, elle attendait simplement des conditions propices à son réveil. Lorsque celles-ci survinrent, la vie reprit le dessus.

Les êtres humains et les sociétés qu’ils constituent ont les mêmes attentes. Nous avons besoin de conditions propices au développement dans nos écoles, nos entreprises, nos sociétés et nos vies personnelles. Quand les conditions sont bonnes, les gens se développent en synergie avec ceux qui les entourent et les environnements qu’ils créent. Quand elles sont défavorables, les individus se protègent (eux-mêmes et leurs angoisses) de leurs voisins et du reste du monde. Certains éléments de notre propre développement se trouvent en nous ; y compris le besoin de développer nos aptitudes naturelles et nos passions personnelles. Le plus sûr moyen de nous épanouir à titre individuel consiste à trouver et à nourrir ces dernières.

Si nous découvrons l’Élément en nous et que nous encourageons les autres à trouver le leur, les possibilités de développement sont illimitées. Dans le cas contraire, nous nous en sortirons sans doute, mais au prix de vies plus ternes. Cette thèse n’est pas propre à la Californie, bien que j’y réside maintenant. J’y croyais déjà durant les longs mois d’hiver froids et humides que j’ai passés en Angleterre, même si la température se prêtait moins à l’éclosion de telles idées. En outre, il n’y a là rien de nouveau. C’est une idée très ancienne que le besoin de trouver l’équilibre et l’épanouissement dans nos vies, ainsi que d’entrer en synergie avec les vies et les aspirations des autres. Mais cette idée se perd aisément dans le flot de nos existences actuelles.

Les crises que rencontrent la nature et les hommes sont liées l’une à l’autre. L’Américain Jonas Salk fut le premier à mettre au point un vaccin contre la poliomyélite. Ayant moi-même contracté la polio dans les années 1950, j’éprouve une certaine affinité pour sa grande passion. Par la suite, Salk fit une remarque provocatrice à propos de ces deux types de crises : « Il est intéressant de penser que si les insectes disparaissaient de la surface de la Terre, toute autre forme de vie disparaîtrait dans les cinquante ans qui suivraient. » Comme Rachel Carson, il avait compris cela : ces êtres vivants que nous prenons tant de peine à essayer d’éradiquer sont des fils essentiels dans la toile complexe de la vie sur Terre. « En revanche, poursuivait Salk, si les êtres humains disparaissaient de la planète, toutes les autres formes de vie s’épanouiraient dans les cinquante ans qui suivraient. »

Il voulait dire par là que nous sommes devenus le problème. Notre extraordinaire capacité d’imagination a suscité les accomplissements les plus fabuleux ; elle nous a menés des grottes aux gratte-ciels et des marécages à la Lune. Mais il semblerait que notre imagination nous fasse aujourd’hui défaut. Nous avons vu loin, mais pas suffisamment encore. En tant qu’individus ou qu’espèce, nous nous considérons encore de manière trop restrictive, et nous ne réfléchissons pas assez aux conséquences de nos actes. Afin de profiter au mieux de notre séjour ensemble sur cette petite planète bondée, nous devons développer, avec conscience et rigueur, notre aptitude à l’imagination et à la créativité en visant un autre objectif pour l’humanité.

Michel-Ange disait : « Pour la plupart d’entre nous, le danger n’est pas de viser trop haut et de rater la cible, mais de viser trop bas et de l’atteindre. » Pour notre avenir à tous, nous devons viser haut et être déterminés à réussir.

Pour cela, chacun de nous individuellement, et nous tous ensemble, devons découvrir l’Élément.

 

Dans L’élément, Ken Robinson nous invite à redécouvrir ce qui fait vibrer notre âme : l’endroit où nos talents naturels et nos passions se rejoignent. C’est ici que la magie opère, où la vie devient fluide, épanouissante, et pleine de sens. Robinson nous montre à travers des récits inspirants de personnalités, mais aussi de personnes anonymes, comment chacun peut trouver son Élément, cette étincelle intérieure qui transforme notre existence.

Imaginez une vie où chaque jour, vous faites ce que vous aimez tout en étant doué·e pour cela. Ce n’est pas un rêve, c’est une réalité possible. Mais pour cela, il faut dépasser les limites que l’éducation traditionnelle et la société nous imposent, ces mêmes barrières qui étouffent la créativité et nous éloignent de notre vraie nature.

Robinson illustre à merveille que trouver son Élément est souvent une aventure imprévisible, remplie de surprises et de défis. Il démontre également que ce voyage est unique pour chacun·e. Parfois, cela demande de trouver sa “tribu”, ces personnes qui partagent les mêmes passions, qui nous soutiennent et nous encouragent à être nous-mêmes.

Avec L’élément, vous êtes invité·e à découvrir une nouvelle perspective, à libérer votre potentiel et à vivre une vie en pleine harmonie avec ce qui vous anime profondément. Ce livre est un guide puissant vers la découverte de soi et une vie pleine de créativité. Alors, êtes-vous prêt·e à explorer votre Élément ?

Vous trouverez ce livre sur le site Place des Libraires en identifiant une librairie près de chez vous, ou sur le site de la FNAC.

Les extraits que je vous partage sont ceux qui m’ont parlé lors de la lecture du livre.

Aussi, je vous encourage à acheter ce livre car vous y trouverez tous les détails sur votre Elément.

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