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Dr Yann Rougier-Se programmer pour guérir-Partie 4

Equilibre acido-basique :

Tous les fruits et légumes sont globalement basifiants , s’opposant ainsi naturellement à l’excès d’acidification du milieu intérieur. Mettez-les donc, en priorité, au menu chaque jour. Pour les sauces de salade, préférez le vinaigre de cidre et le jus de citron, dont les acides organiques deviennent basiques au contact des sécrétions gastriques. Évitez de consommer régulièrement de la charcuterie, des fromages gras affinés ou trop de viande rouge, dont la digestion produit nombre de substances acidifiantes. Remplacez-les le plus souvent possible par de la volaille ou du poisson. Enfin, préférez les céréales complètes (ou aujourd’hui demi-complètes) et limitez votre consommation de sucre blanc et de sucreries.

L’équilibre acido-basique de l’alimentation est assuré par une ration alimentaire quotidienne constituée de 70 % d’aliments basifiants et 30 % d’aliments acidifiants.

 

La delta-nutrition en pratique

Pendant les deux premières semaines :

  • Concentrez vos efforts sur les index Slim-Data bas, en sélectionnant des aliments verts et orange du tableau.
  • Incluez dans chaque repas au moins un aliment appartenant à la zone verte du tableau.
  • Évitez (seulement pendant cette première quinzaine) les aliments rouges, vous les réintègrerez plus tard.
  • Les associations qui vous sont permises au cours d’un même repas :
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment vert
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment orange
  • Surveillez également votre équilibre acide-base (1/3 d’acides pour 2/3 de basifiants) en consultant le tableau en couverture intérieure ; faites une belle place aux légumes (si vous le pouvez, 50 % de légumes qui poussent au-dessus du sol et 50 % de légumes qui poussent dans le sol), aux fruits et aux aromates.
  • Et n’oubliez pas de surveillez votre apport en protéines animales : pas plus de 1 g par kilo de poids, soit 70 g pour une personne pesant 70 kg, ce qui correspond environ à un steak cuit de 140 g, 140 g de poulet, 200 g de poisson ou 2 oeufs. Privilégiez les protéines végétales ou animales « légères » (tous les poissons, avec une préférence pour les poissons gras).

 

Pendant les deux semaines suivantes :

  • Intégrez progressivement les aliments appartenant à la catégorie rouge, en les associant toujours avec des aliments verts au cours du même repas afin de faire baisser l’index global de votre prise alimentaire.
  • Les associations qui vous sont permises au cours d’un même repas :
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment vert
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment rouge
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment rouge
  • Restez toujours très attentif à votre équilibre acide-base.
  • Continuez à bien surveiller votre apport, régulier mais très modéré, en aliments protéinés.

 

Pendant les deux semaines suivantes :

  • Intégrez progressivement les aliments appartenant à la catégorie rouge, en les associant toujours avec des aliments verts au cours du même repas afin de faire baisser l’index global de votre prise alimentaire.
  • Les associations qui vous sont permises au cours d’un même repas :
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment vert
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment rouge
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment rouge
  • Restez toujours très attentif à votre équilibre acide-base.
  • Continuez à bien surveiller votre apport, régulier mais très modéré, en aliments protéinés.

 

Par la suite :

  • Votre métabolisme a commencé à se réharmoniser. Vous devez maintenant stabiliser et ancrer cette amélioration.
  • Continuez à éviter les aliments « antisanté » appartenant à la catégorie violette (pas plus de deux fois par mois au grand maximum, si vous y êtes irrémédiablement accro !). Continuez à toujours associer les aliments rouges à des aliments verts, en quantités égales bien sûr, afin de faire baisser l’impact métabolique global de votre repas.
  • Pensez à toujours intégrer à vos repas suffisamment de légumes, de fruits, de condiments et d’aromates, afin de neutraliser l’excès d’acidité intérieure (voir tableau à l’intérieur de la couverture).
  • Continuez à éviter les aliments trop raffinés ou trop chargés en additifs chimiques, toujours très acidifiants.
  • Vous pouvez, deux à trois fois par semaine, intégrer une association supplémentaire à vos menus. Voici donc les associations qui vous sont maintenant autorisées :
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment vert
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment orange
  • 1 aliment vert + 1 aliment vert + 1 aliment rouge
  • 1 aliment vert + 1 aliment orange + 1 aliment rouge
  • 1 aliment vert + 1 aliment rouge + 1 aliment rouge

N’oubliez pas de bien mâcher.

 

Ce qu’il faut retenir

  • Pour cet outil, consultez régulièrement les tableaux en couleur à l’intérieur de la couverture de ce livre.
  • Pour rester en bonne santé, il ne suffit pas de manger en quantité suffisante, il faut surtout se nourrir en « qualité suffisante ».
  • Les erreurs alimentaires répétées constituent un facteur majeur de déséquilibre, qui favorise (en association avec d’autres) l’apparition des cancers (ainsi que des maladies dégénératives et auto-immunes). La Delta-nutrition permet de corriger rapidement nombre de ces erreurs.
  • La science connaît de mieux en mieux les secrets des aliments, mais nous avons oublié les règles de base et le mode d’emploi des équilibres nutritionnels de santé.
  • Nos aliments ont davantage changé en 50 ans qu’en 50 siècles : aliments raffinés, industrialisés, transformés, bourrés d’additifs chimiques et de polluants. Tout cela explique l’explosion des maladies métaboliques liées à l’alimentation (obésité, diabète, syndrome métabolique…), et contribue à l’augmentation du nombre de cancers.
  • L’une des principales conséquences de la transformation des aliments est l’augmentation de leur « impact sucré » et de leur impact acidifiant, notamment à cause du raffinage excessif des céréales et de l’ajout d’additifs chimiques.
  • Des études ont montré qu’une alimentation dotée régulièrement d’une forte charge glycémique favorise le métabolisme des tumeurs ; tout comme les alimentations trop riches en protéines animales (les tumeurs étant des masses protéiques).
  • La Delta-nutrition propose non pas de se « mettre au régime », mais de se « réconcilier » avec les aliments et les combinaisons alimentaires.
  • Elle propose de se baser sur un nouvel index alimentaire, le Slim-data, qui prend en compte l’index glycémique des aliments (leur impact sur le pancréas et la sécrétion d’insuline), l’index enzymatique (leur impact sur la digestion et l’assimilation) et pour une très faible proportion l’index calorique.
  • Les aliments sont ainsi classés en trois couleurs : verts (favorables à l’équilibre métabolique global), les aliments oranges (neutres sur le plan métabolique) et les aliments rouges (qui ont un impact trop fort sur les organes, à moins d’être associés avec des aliments verts).
  • S’y ajoutent quelques aliments violets, qui sont de vrais « antialiments » apportant très peu de nutriments mais beaucoup de substances chimiques.
  • Le principe de la Delta-nutrition est d’associer les aliments au cours d’un même repas afin que la prise alimentaire reste cadrée sur un SLIM-data orange. Cela permet de réguler l’apport glycémique sans interdire aucun aliment (hormis les quelques aliments violets, considérés comme « antisanté »).
  • En cas de cancer, pendant les premières semaines, la Deltanutrition conseille également de limiter la consommation de protéines animales, des graisses et des sucres rapides, afin de ne pas favoriser l’« inflammation de la tumeur » (tous ces aliments sont acidifiants et réveillent ou augmentent les microinflammations cellulaires).
  • Les principes de la Delta-nutrition intègrent aussi l’équilibre acido-basique : certains aliments sont acidifiants pour l’organisme, alors que d’autres sont basifiants ; une consommation excessive d’aliments acidifiants rend le terrain trop acide, ce qui favorise l’apparition des maladies chroniques. Globalement, les charcuteries, la viande, les graisses saturées, les fromages affinés et les produits sucrés sont très acidifiants, alors que les fruits, les légumes, les condiments et les épices sont basifiants ; il faut grandement favoriser ces derniers.
  • Enfin, dernière règle : il faut mâcher suffisamment afin d’économiser les forces digestives, ce qui permet de mobiliser plus facilement toutes nos forces de guérison.
  • La prise de compléments alimentaires est conseillée, à condition d’éviter les surdosages et certaines vitamines spécifiques (vitamines A, B6, B12, etc.). Il faut choisir des compléments alimentaires bien équilibrés, fabriqués par un laboratoire européen compétent et les prendre sous forme de cure de trois semaines à chaque changement de saison (pendant les repas afin de faciliter leur assimilation).
  • Méfiez-vous impérativement des « promesses Internet », sans éthique, sans contrôle et sans scrupule. De nombreux produits toxiques circulent ; votre santé est en jeu !

C’est un extrait du livre « Se Programmer Pour Guérir » du Dr Yann Rougier qui est une véritable invitation à devenir acteur de sa propre santé. Il propose une approche holistique de la guérison, où corps, esprit et émotions sont considérés comme un tout indissociable. Le Dr Yann Rougier introduit la « Delta-médecine », un programme qui repose sur cinq outils simples et pratiques visant à améliorer notre bien-être global : la gestion de la respiration, l’alimentation équilibrée, la détoxification, la réduction du stress et la gestion des émotions.

Ce livre s’adresse à tous, que vous soyez malade ou simplement soucieux de préserver votre santé. Il met l’accent sur l’autoguérison, soulignant que nous possédons tous en nous les ressources nécessaires pour renforcer nos processus de guérison naturels. En complément des traitements médicaux classiques, les techniques proposées permettent d’optimiser ces processus, de réduire les effets secondaires des traitements et d’améliorer la qualité de vie au quotidien.

Le Dr Yann Rougier insiste sur l’importance de petits changements progressifs, qu’il appelle « Delta-changements », qui, intégrés dans notre routine, peuvent avoir des effets significatifs et durables sur notre santé. Le ton convivial et accessible du livre, enrichi d’exemples concrets et de conseils pratiques, encourage à expérimenter ces outils au quotidien.

Ce livre est une belle ressource pour quiconque souhaite prendre en main sa santé de manière proactive, en cultivant une meilleure compréhension de soi et en adoptant des pratiques simples mais puissantes pour améliorer sa qualité de vie. Une lecture inspirante pour ceux qui cherchent à équilibrer leur vie et à se reconnecter avec leur potentiel d’autoguérison.

Je lui suis reconnaissant de l’avoir écrit. Je l’offre à des personnes dont je sens qu’elles en tireront de grands bénéfices.

Vous trouverez ce livre sur le site Place des Libraires en identifiant une librairie près de chez vous, ou sur le site de la FNAC.

Les extraits que je vous partage sont ceux qui m’ont parlé lors de la lecture du livre.

Aussi, je vous encourage à acheter ce livre car vous y trouverez tous les détails pour la manière de favoriser votre créativité.

Un site complète ce livre : http://www.delta-medecine.org/

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