Femme réfléchissant près d'un bureau avec ordinateur

Sophie, manageuse dans l’IT, découvre une autre dimension du bonheur : le bien-être

Aujourd’hui a vraiment été une belle journée.

 

Sylvain a une vraie aisance à l’oral.

Il m’a bluffé cet aprem.

Demain, ça va être top !

 

Je mange un morceau et je reprends la lecture du blog.

 

Il insiste beaucoup sur la nécessité de réaliser des tâches qui ont du sens. En particulier, dont la portée nous dépasse. Comme une mission de vie.

Je n’ai pas l’impression que ce soit mon cas.

Peut-être, il faudrait que je me fixe des objectifs plus ambitieux ?

Il faut que j’y réfléchisse.

 

Il aborde une dimension supplémentaire : le bien-être.

Il le décline en 5 domaines :

Le bien-être professionnel : se réjouir de ce que l’on fait chaque jour.
Le bien-être social : entretenir des relations solides et connaître l’amour.
Le bien-être financier : gérer sa vie économique de manière satisfaisante.
Le bien-être physique : jouir d’une bonne santé et avoir l’énergie nécessaire pour ses activités quotidiennes.
Le bien-être environnemental : se sentir connecté(e) à l’endroit où l’on vit.

 

A priori, 66 % des personnes se sentent bien dans au moins un des domaines.

Et seulement 7% s’épanouissent dans chacun de ces domaines !

Ca fait pas beaucoup.

C’est sûr qu’il suffit que ça n’aille pas dans un domaine pour que le bien-être global en pâtisse.

 

Je vais évaluer comment je me situe dans chaque partie :

Bien-être professionnel : 8/10
Bien-être social : 5/10
Bien-être financier : 9/10
Bien-être physique : 8/10
Bien-être environnemental : 7/10

C’est pas une nouvelle ! Il faut que j’améliore mon bien-être social ; pro et perso d’ailleurs.

 

Il dit que les personnes qui s’épanouissent professionnellement sont deux fois plus susceptibles de se sentir heureuses dans l’ensemble de leur vie.

C’est une bonne nouvelle pour moi !

 

Je vais aller au bout du chapitre sur le bonheur.

 

Il mentionne que 3 éléments clés influent sur notre bonheur :

Les circonstances extérieures. C’est vrai que certains jours les évènements ne nous favorisent pas. A priori, ça n’influerait que pour 10 % sur notre état de bonheur.

Notre patrimoine biologique. Certains ont une prédisposition au bonheur de par leur patrimoine génétique. Les optimistes par exemple. L’influence de ce patrimoine représenterait 50% de notre capacité à être heureux. Ca me gêne ce soit aussi important. Avec les circonstances, fait 60%. Donc, on ne peut rien faire !

Notre comportement. Nos attitudes face aux évènements influent aussi sur notre bonheur. Par exemple, rechercher le côté positif d’un évènement change tout de la perception que nous en avons. Et ça évite de ressasser le négatif. Il indique que ça influerait à hauteur de 40 %. C’est beaucoup, mais pas suffisant !

 

En fait, je pense qu’il faut influer sur notre patrimoine. Par exemple, ce n’est pas parce que nos parents étaient des râleurs que nous sommes obligés de l’être aussi. Et même si nous le sommes, nous pouvons nous discipliner pour prendre le contre-pied des pensées négatives.

Comme ça, on augmentera le poids du comportement par rapport au reste.

 

D’ailleurs, c’est la conclusion qu’il a sur le chapitre sur le bonheur.

 

Il propose de réfléchir aux questions suivantes :

À quels moments vous sentez-vous le(la) plus heureux(se) ?
Avez-vous l’impression que l’activité qui occupe la majeure partie de votre temps sert un véritable but, qu’elle est utile pour vous ou pour d’autres ?
Ce but vous apporte-t-il de la satisfaction ? Si oui, de quelles façons ?
Quelle est votre vision de la réussite dans votre vie ?
Quelles sont les causes qui vous tiennent à cœur ?

Je vais y réfléchir.

Mais, maintenant au lit pour être en forme demain.

Pour m’endormir dans la joie, je vais penser au travail que nous avons fait cet après-midi avec Sylvain.

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