✨ Tu sais ce moment où tu lis une citation de Mandela… et que t’as l’impression qu’il te parle direct dans les tripes ?
Ouais, moi aussi. Et ça m’a secoué comme un mojito sans sucre.
C’était un dimanche pluvieux. Tu sais, ce genre de dimanche où même Netflix te dit : « t’as pas une conscience à nourrir ? ».
Je feuillette un vieux bouquin et je tombe sur une phrase de Nelson Mandela :
« En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant. »
Direct dans le plexus !
Et là, je me suis souvenu d’un moment où je n’ai pas scintillé du tout.
Réunion de crise, ambiance moite, café trop chaud et regards en coin. Un collègue se fait démonter pour un retard sur un projet. Moi, je reste là, bouche cousue, cerveau en boucle : « Ce n’est pas mon conflit. Ce n’est pas mon job. Ce n’est pas le moment. »
Ca aurait dû être justement le moment.
Mandela, lui, aurait sans doute regardé la personne dans les yeux.
Écouté.
Compris.
Et tendu une main, pas pour sauver, mais pour rappeler à l’autre sa propre dignité.
C’est ça l’empathie, non ?
Pas un truc gnangnan de développement personnel avec des licornes.
Un acte politique. Un choix radical.
Tu penses que Mandela est devenu Mandela parce qu’il avait une to-do list en béton ?
Non. Il a passé 27 ans en prison sans devenir aigri, sans chercher à se venger. À la place, il a tendu la main à ses anciens geôliers. Pas parce qu’il était naïf. Parce qu’il savait que sans empathie, y’a pas de paix. Pas de cohésion. Pas de futur.
Et moi, pendant ce temps-là, un message Teams sans bonjour me mets en rogne…
Alors j’ai essayé un truc :
À la prochaine réunion tendue, j’ai respiré. J’ai regardé vraiment. J’ai posé une question simple :
« Qu’est-ce que t’as vécu juste avant d’arriver ici ? »
Silence. Puis des mots. De la vérité. Et un peu d’humanité qui fait irruption entre deux post-its.
C’est fou comme parfois, écouter, c’est déjà agir.
👉 Alors dis-moi : c’est quand, la dernière fois que t’as choisi l’empathie, même quand t’avais envie de crier ?
Et si t’osais le raconter ici, qu’on fasse ensemble un Mandela-mètre de l’équipe ?